L’aventure Sense Office a débutée en octobre 2015 : cela faisait déjà quelques mois que l’idée trottait dans la tête de certains membres du groupe. Après 1 an chez Orange, Laura, Lenny et Josselin ont fait un constat unanime : le taux d’occupation des espaces était étonnement faible, des étages entièrement vides parfois en pleine semaine. 

Le taux du télétravail qui explose, aujourd’hui , 17% en France selon le dernier rapport Mettling, soulève des problématiques de gestion des surfaces pour les directions des entreprises. 

 

Le travail en mode collaboratif, la numérisation de l’information, le développement des salariés nomades, la culture managériale basée sur la confiance , bouleversent les modes de fonctionnement en entreprise. 

Le “Flex Office” (ou le desk sharing) permet de passer du bureau individuel aux bureaux partagés En réponse aux problématiques d’optimisation des surfaces, le concept est né d’une double exigence : la nécessité de faire des économies, et trouver une réponse à l’accroissement du travail collaboratif. 

Mais le desk sharing soulève une autre problématique de gestion de surfaces pour la direction : comment déterminer le nombre de poste à conserver et comment éviter le risque de se battre pour une place. 

 

C’est dans ce contexte complexe que nous avons inventé “Sense Office” : le bureau qui a du sens. 

 

Les fondateurs de Sense Office travaillent autour d’une problématique commune : faciliter la vie du “sensei” (l’utilisateur de Sense Office) et permettre aux décisionnaires de faire des économies en rationalisant les surfaces.